Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

LeS reSeaux SociauX

Archives
7 octobre 2009

Edito

facebook

Une Révolution Sociale

Nous allons tout d'abord vous donner une définition du réseautage social.

A quoi sert il ?

Autrefois, prévalait ce que nous connaissions : c'est ce qui rendait quelqu'un intéressant. De nos jours c'est qui nous connait qui fait toute la différence, qui nous rend remarquable. C'est un privilège de faire partie d'un groupe déjà structuré. En fait c'est quand un groupe vous accueille que le travail débute.

Il s'agit, ce qui peut paraître simplet de se faire connaître comme une personne agréable à fréquenter, qui n'est pas là seulement pour quémander. Si vous participez à ce réseau, c'est que vous êtes d'abord là pour donner, pour participer, pour mériter le privilège qui vous est fait d'être acceuilli au sein du groupe. Par ailleurs les réseaux sont souvent pollués par des nouveaux arrivants, qui ne sont là que parce qu'ils passent par un mauvais moment de leur carrière : Internet, avec ses promesses de résultats rapides et quasi miraculeux.

Internet : c'est puissant mais ce n'est pas une foire aux miracles.

Un des plus grands mérites d'Internet aura sans doute été de rendre le réseautage accessible à un plus grand nombre. Internet ne crée pas de relations, mais il permet surtout aux relations de continuer d'exister de se développer malgré la distance, les mutations d'emplois et les multiples activités qui nous accaparent tous.

Bien utilisés, les sites de networking social permettront d'amorcer des contacts.

Nous allons nous appuyer plus particulièrement, sur le réseau social le plus répandu : FACEBOOK.

Créé à l'origine pour réunir les étudiants d'Harvard, facebook s'est rapidement étendu aux autres universités américaines puis, depuis mai 2007, au réseau Internet mondial pour devenir un outil social incontournable, notamment pour les jeunes et les étudiant

Le principe est extrêmement simple : en ouvrant un compte personnel, il vous est désormais possible d'interagir avec plus de 60 millions d'internautes répartis sur les cinq continents.

Le réseau s'agrandit de plus de 100 000 utilisateurs par jour et il est destiné à devenir « le plus grand réseau social du monde » selon l'entrepreneur Paul Allen.
A l'instar d'un certain Bill Gates, facebook est l'oeuvre de Mark Zuckerberg, un étudiant de Harvard.

Au-delà de son caractère ludique et social, facebook est également un phénomène par les nombreuses controverses qu'il soulève. Il y eut tout d'abord le risque technologique. Puis une crainte quant à la protection de la vie privée. De nos jours il est très difficile, d'échapper au phénomène Facebook, il y a aujourd'hui dans le monde plus de 140 millions d'utilisateurs.

Avons-nous interêt à faire partie intégrante de facebook ?

Tel est le point que nous aborderons pour montrer que le phénomène facebook est à manier avec précaution.

Publicité
7 octobre 2009

note de lecture 1

Nous parlerons ici des effets du réseau social Facebook sur la vie sociale :

Le réseau Facebook devenu depuis son apparition en France en 2007, le vecteur de communication le plus important de ces derniers mois qui impose ou expose à ses utilisateurs une vie  "sociale".

Mais arretons-nous le temps de votre lecture de ce blog sur ce phénoméne... Avons-nous intérêt à avoir un compte sur facebook si nous voulons ne pas être marginalisé ou encore mis à l'écart dans le travail, la vie sociale etc... C'est tout le PROBLEME qui va se poser dans ce blog.

Les conséquences qu'engendrent Facebook sur nos vies, le changement social qui émane de ce nouveau média trés médiatisé et que l'on retrouve dans tous les Domaines...

Sous forme de veille informationelle, de revue de presse et d'article qui se sont intéressées mais aussi posées la question du rapport de facebook sur " nous " à l'échelle mondiale.

Nous débuterons d'abord avec la question de savoir si: FACEBOOK permet d'étendre sa sociabilité? selon la revue de presse du du blog DoYouBuzz

The Economist s’est posé la question de savoir si un site comme Facebook permettait d’agrandir la taille de son réseau social. En partant de l’étude de l’anthropologiste Robin Dunbar, qui avait estimé qu’un réseau personnel ne pouvait dépasser 150 personnes (pour des raisons de limitation cérébrale), l’hebdomadaire britannique s’est tourné vers un chercheur chez Facebook, Cameron Marlow, qui nous apprend qu’un utilisateur moyen possède 120 amis et qu’il interragit activement avec seulement 7 personnes (pour les hommes) et 10 (pour les femmes).

Sur son blog personnel, Cameron Marlow propose une analyse plus poussée et nous apprend que les relations actives sont proportionnelles à la taille du réseau : un utilisateur de Facebook a en moyenne 2 à 2,5 fois plus de relations passives avec ses amis (simple visite de profil) que de relations actives (message sur le wall, commentaire). Et ce quelle que soit la taille de son réseau.

Mais pour pousser l'analyse encore plus loin LeMonde.fr qui s'est intéressé au fait que facebook engraine des relations qui ont depuis son apparition nettement changé mais ceci est à nuancer car le monde généralise ce fait à internet en générale avant d'en arriver au site de réseaux sociaux. Entre employeur, candidats et internet les relations se complexifie. Explication selon anecdote : une jeune femme de 21ans qui répond au nom de Fanny voulait travailler pour une agence de communication, avec un c.v plutôt avantageux elle pensait déjà etre recruter et pour cause la patronne de la bôite aprés avoir reçu son c.v décide de faire un tour sur le blog en y découvrant des choses dont elle ne peut y passer outre.

Echaudée, Fanny fait une recherche sur elle-même, en tapant son nom dans des moteurs de recherche : "Il y a quelque temps, j'avais participé à une opération de charité sur un site humanitaire. Pour inciter les gens à envoyer de l'argent tout en les faisant rigoler, j'avais écrit que pour un don de 200 euros, je montrerais mes seins. Quand j'ai tapé mon nom dans Google, c'est ce texte qui s'est affiché en haut de la première page. J'étais horrifiée. J'ai réussi à le faire effacer "

Officiellement, les chasseurs de têtes font la différence entre les recherches sur la vie professionnelle d'un candidat et les intrusions dans sa vie privée, qui seraient contraires à leur déontologie. L'association A compétence égale (ACE), qui rassemble une quarantaine de cabinets de recrutement engagés dans la lutte contre la discrimination à l'embauche, ne s'est pas encore saisie de ce problème, mais les discussions informelles se multiplient en son sein.

Jacques Froissant, membre de cette association et patron du cabinet de chasseurs de têtes Altaïde, spécialisé dans les nouvelles technologies, se considère comme un pionnier du "recrutement 2.0" : sur la centaine de cadres qu'il a fait recruter en 2008, près de soixante ont été repérés sur des réseaux sociaux.

Malgré ses principes déontologiques, il reconnaît que la frontière entre vie privée et vie professionnelle est de plus en plus floue : "Comme je suis très connecté, il m'arrive d'apprendre des choses sur la vie d'une personne. Ensuite c'est difficile de faire comme si je ne savais pas." Or, certains candidats mélangent tout : "Une cadre quadragénaire avait affiché sur un CV une photo d'elle en maillot de bain. Elle était belle, mais cette confusion des genres n'est pas heureuse. Lors de mes séminaires, je conseille aux candidats de tourner leur souris sept fois dans leur main avant de cliquer pour publier quelque chose, ou pour accepter un nouvel ami sur Facebook, qui peut s'avérer compromettant."

Des cadres de différents secteurs estiment avoir été victimes d'une discrimination à l'embauche après avoir exprimé leurs opinions politiques sur Internet. Certains ont voulu contre-attaquer, en faisant connaître leur histoire.    Propos receuillis par Yves EUDE pour LeMonde.fr

Depuis, d'autres cas sont apparus : en 2008, une agence de recrutement avait présélectionné un jeune graphiste, pour un entretien d'embauche dans une société de marketing. Il avait publié sur différents blogs des textes politiques, très engagés à l'extrême gauche. L'entreprise n'a pas donné suite à sa candidature.

Confrontés à ces pratiques, des jeunes cadres s'insurgent, mais leur indignation est souvent ambiguë. Pauline, 28 ans, travaille depuis deux ans dans une association professionnelle liée à la grande distribution. Pendant son temps libre, elle fréquente beaucoup Facebook. Elle tient aussi un journal intime sur un blog, protégé par un pseudonyme, mais rempli d'informations sur sa vie privée. Or, récemment, une collègue lui a confié qu'avant son embauche, leur patron lui avait demandé de faire une recherche sur son nom. "Elle avait même découvert des trucs anciens, que j'avais oubliés : que j'avais participé à un concours de danse dans ma ville natale quand j'avais 14 ans, que j'étais allée à une manif quand j'étais étudiante... Je me suis sentie presque violée, ça m'a choquée, j'en ai vraiment voulu à mon patron."

Pauline décide alors de se désinscrire de Facebook : "Je me suis renseignée sur la marche à suivre, mais au moment de passer à l'acte, je n'ai pas pu. Facebook est trop génial, j'aurais du mal à m'en passer." Elle a quand même fait le tri dans ses photos et limité l'accès à son profil. Pourtant, quand on lui demande quelle sera son attitude le jour où elle devra recruter un assistant, le ton change : "Je ferai peut-être une recherche pour en savoir plus sur la personnalité des candidats. Quand on travaille dans une petite structure comme la nôtre, le relationnel est essentiel."

Voici donc quelques exemples qui nous montre les répercussions que notre vie privée peut avoir sur notre vie public et surtout que la frontière entre ces deux mondes devient de plus en plus mince surtout depuis l'apparition de nouveaux réseaux de communication tel que facebook, twitter, Myspace etc..

7 octobre 2009

note de lecture 2

vie_privee_1_

Le Changement Facebook

A première vue, on pourrait avoir l'impression qu'une ère nouvelle de l'inofrmatique et de l'Internet s'ouvre toute grande avec les logiciels sociaux ! En réalité, il reste encore de nombreux obstacles à surmonter et beaucoup de problèmes à résoudre avant que leur adoption se généralise tant dans la sphère privée que dans la sphère professionnelle. Même si, à notre avis le positif l'emporte largement sur le négatif, il ne faut pas se cacher que la vague du logiciel social comporte aussi son lot d'aspects regrettables. La protection de la vie privée et les relations entre les gens sont les deux domaines les plus sensibles qui seront probablement les plus affectés par cette vague de sites et de logiciels.

.Les relations entre les gens sont plus visibles que jamais

C'est évidemment dans le domaine de la vie privée que l'impact va être le plus fort : peu de gens sont prêts et envore moins favorables à la transparence rendue possible par les réseaux sociaux. Jonathan Ringen raconte l'histoire suivante au magazine The Village Voice : " Je me suis inscrit sur Friendster et, après un rapide tour d'horizon, je découvre que toutes les personnes que je connais y sont déjà. J'ai été choqué de constater qu'il se soit passé autant de temps avant que quelqu'un daigne m'inviter." L'anecdote paraît vraisemblable, sans doute même est-ce un cas fréquent. Elle illustre bien la nouvelle visibilité de la relation entre les gens, rendue possible par ce type de service. Evidemment, certains seront tentés de tirer parti de cette nouvelle visibilité pour apparaître plus influents qu'ils ne le sont en réalité ( en leur réseau ). PLus trivial mais aussi significatif, avec la généralisation de l'usage de ce type de service, on verra apparaître une nouvelle forme de frime qui pourra résumer à "mon réseau est plus gros que le tien". Car la quantité sera le seul élèment mesurable depuis l'extérieur et donc ouvrira la porte à ce genre de vantardise.

Comme le dit Fort bien Esther Dyson, "ce n'est pas parce que nous avons désormais plus de moyens que jamais de compter nos amis que nous devrions le faire"

.Voici quelques témoignages

Beaucoup d'utilisateurs dormants :

Enfin, pour ceux qui ont essayé la tentative reste encore bien timide puisque tous les avis convergent pour considérer que la grande majorité des inscrits de ces services sont les utilisateurs dormants, au comportement uniquement réactif. De plus et principalement en France, vis-à-vis de ces services, le scepticisme voire l'hostilité domine ( comme on vient de le voir ) :

- Qu'en attendiez vous avant de vous inscrire sur Facebook ?

Jean-Christophe VAUSSIER - A vrai dire, au départ, pas grand chose, j'étais un peu scpetique sur le fait de faire du relationnel à travers un outil virtuel, mais quand même curieux et je me disais au fond de moi, pourquoi pas, on ne sait jamais, ça peut m'apporter des affaires.

Fadhila BRAHIMI - Le réseautage n'est pas naturel en France, beaucoup restent réticents et ne comprennent pas l'interêt de ce type d'outils.

.Les Inscrits pour rester dans le coup...

Du coup, une bonne partie de ces pionniers sont là parce qu'ils veulent rester à la page, comme ceux-ci :

Laurent Deséchaillers - De par mon activité de consultant en systèmes d'informations, je suis obligé de suivre de très près les nouveaux phénomènes afin de rester à jour. J'ai découvert les réseaux sociaux dont Facebook au détour de sites Web spécialisés. Je teste tous les nouveaux outils, technologies...(dans la limite de mon temps et de mes ressources techniques et financières) afin d'en évaluer les avantages réels, la philosophie, comment ils vont transformer notre manière de vivre, travailler...

-Qu'en attendiez vous avant de vous inscrire ?

Il répond : Rien du tout, je m'oblige à une neutralité ( si tant est que cela soit possible quand on est passionné par son métier) face à un nouveau phénomène. Afin de ne pas me planter en faisant confiance à mes a priori. Ces expériences m'ont appris à ne pas me fier à mes impressions premières, et que seul le test en grandeur réelle permettait de se faire un avis.

William Waisse - Quand Facebook est arrivé en France, j'ai vite accepté une invitation pour voir ce que cela pouvait donner. En général je n'appréciais pas ce genre de services Web que je considérais comme une perte de temps, et j'ai vite compris que cela était le cas...

7 octobre 2009

bibliographie

  • Revue de presse de DOYOUBUZZ par Jérémie internaute en 2009
  • propos receuillis de Yves Eudes en 2008
  • Les réseaux sociaux de Alain Lefebvre
7 octobre 2009

Espace de discussion.

VOTRE ESPACE DE DISCUSSION

Ici c'est votre espace de discussion, vous pouvez rajouter un commentaire.

Nous dire en quoi vous êtes d'accord ou pas d'accord avec nos propos, rappoter d'autre

informations qui nous aurait peut être échappé lors de notre élaboration du blog.

discussion

Publicité
6 octobre 2009

conclusion

Il est apparemment normal de remarquer au vue de toutes nos recherches que certes FACEBOOK a permis la socialisation de nos concitoyens mais encore, pour la plupart des rencontres.

Cependant, notre propos et à nuancer quand on rentre dans le fond des choses, il semble que facebook entraîne l'obligation d'être sociable, d'appartenir à un groupe social en particulier. Parce que lorsqu'un futur recruteur ira sur le Net, facebook (puisqu'il en est question ici) le potentiel employé se doit d'avoir un sens du relationnel. Car depuis l'arrivée ces 10 derniéres années des nouvelles technologies de l'informatique, et de l'ére des réseaux sociaux, dont facebook qui devient notre CV, ce qui peut alors être trés dangereux! Et pour la personne qui n'a pas de compte sur facebook ? Comment est-elle considérée ? Comme une personne associable ? Facebook est alors notre nouvelle carte de visite ( ainsi que touS les autres réseaux de ce genre cité dans le blog).

J'en reviens donc à ma problematique : Avons-nous intérêt à avoir un compte sur facebook?

A cela, ma comparse et moi-même nous répondons donc que oui si nous prenons en compte l'analyse qui a été faite sur le blog. Il est temps maintenant à vous chers internautes, blogeurs et visiteurs de nous dire comment vous voyez les choses et surtout ce qui nous intéresse c'est que l'on puisse avoir  un avis différent voir satirique du notre.

  BONNE LECTURE ET JOYEUX NOEL A TOUS ET A TOUTES !

Publicité
LeS reSeaux SociauX
Publicité
Publicité